L’expatriation à Dubaï un phénomène depuis l’année 2020. De nombreux français ont fait le choix de l’expatriation dans la ville la plus attractive des Emirats Arabes Unis. Et les années 2021 et 2022 ne semblent pas démentir cette tendance.
Pendant longtemps l’expatriation à Dubaï était réservée aux jeunes actifs prêt à partir à l’aventure ou au profil cadre supérieur recrutés à prix d’or par les entreprises locales. Mais depuis quelques mois, le phénomène a pris de l’ampleur. En figure de proue, les influenceurs comme Nabilla Vergara, Jessica Thivenin, Jazz ou encore des footballeurs comme Nicolas Anelka. Moins connus, mais tout aussi intéressés par l’expatriation à Dubaï, les indépendants et entrepreneurs “IT” (dans la tech) sont nombreux à se laisser tenter.
Dubaï attire les influenceurs
La raison première qui pousse les influenceurs à venir à Dubaï est l’attrait fiscal. Puisque pour un grand nombre d’entre eux, baser leur agence de pubs à Dubaï leur permet d’optimiser leur fiscalité. Les sociétés à Dubaï ne paient pas d’impôt. Elles s’acquittent d’une licence annuelle, mais qui n’est pas corrélé à leurs chiffres d’affaires. C’est un montant fixe qui ne change pas en fin d’année même si le CA a doublé ou triplé. Pour plus d’informations sur la création de société à Dubai n’hésitez pas à consulter cet article.
La deuxième raison qui pousse les influenceurs à s’expatrier à Dubaï est la multitude de spots pour nourrir leurs contenus. A Dubaï, les activités sont légions : jet ski, yachting ou désert mais également le nombre de restaurants, lounges ou beach bar est en si grand nombre que leurs journées peuvent sembler à des vacances ininterrompues. Certains y trouvent une sécurité qu’ils n’avaient pas en France comme les influenceurs Jazz et Laurent qui ont été agressés chez eux. Nul doute que l’immobilier haut de gamme et de luxe à un bel avenir à Dubaï avec cette clientèle.
Toutefois, cette vague d’influenceur est loin de constituer la plus grande part chez les nouveaux expatriés. La covid-19 a sensiblement changé la donne dans le monde du travail. Et beaucoup d’indépendants, notamment en marketing ou ingénierie informatique, ont redécouvert le digital nomadisme. Si certains l’appliquaient déjà en France, l’expatriation à Dubaï devient aujourd’hui une solution tout à fait envisageable.
De nouveaux visas pour l’expatriation à Dubaï
Pour cela l’Émirat a mis de nombreux outils à la disposition des travailleurs indépendants, avec la création d’un visa pour les freelance. Pour l’indépendant, la procédure n’a rien de compliqué, il suffit de créer sa société en freezone, et de vivre plus de 6 mois sur place. Ce nouveau VISA est l’un des enseignements de la covid-19 et des différents confinements à travers le monde. Avec des infrastructures de haut niveau ainsi qu’un réseau de télécommunications solides et modernes, les conditions sont optimales pour les freelance de venir travailler depuis Dubai. Un autre point de taille pour ces nomades digitaux, jouer avec le décalage horaire pour offrir un service à part à leurs clients. Quand un projet est à rendre pour le lendemain en urgence, avec les 3 heures de décalages en hiver, le freelance offrira un service adapté à l’urgence de la demande.
Un douceur de vie à Dubaï
L’une des motivations des nouveaux expatriés à Dubai est la douceur de vie qui y règne. Au moment de la pandémie mondiale, les touristes du monde entier ne s’y sont pas trompés, c’était l’une des seules destinations ouvertes totalement. Et pour ceux qui étaient confinés ou en télétravail en Europe, les restrictions quotidiennes (couvre-feu) et les divertissements fermés (cinéma, restaurants) ont rendu la vie bien monotone. Pour certaines personnes des débuts de dépression sont à déplorer. Alors qu’en parallèle sur les réseaux sociaux une vie “normale” s’affiche sans complexe. Ainsi, beaucoup ont fait le choix de l’expatriation à Dubaï. Sa gestion du covid-19 a convaincu de nombreuses personnes de s’installer en toute sécurité.
La Hijraa
Pour de nombreux musulmans vivant en Europe, la vie dans un pays en adéquation avec leurs obligations religieuses est un impératif. Ce retour à la vie dans un pays musulman est appelé Hijra. Longtemps le Maghreb ou l’Arabie Saoudite ont été les points d’ancrage pour les personnes souhaitant vivre dans un pays musulman. Mais depuis quelques années, l’expatriation à Dubaï est devenue un choix naturel. La possibilité de pratiquer sa religion tout en gardant des habitudes « occidentales » en terme de confort de vie à séduit un grand nombre de personnes. C’est ce qui fait la force de cette ville, permettre aux musulmans et non musulmans de vivre ensemble sans qu’il y ait de gêne.
Quelque soit la motivation : professionnelle, personnelle ou confessionnelle, l’expatriation à Dubaï séduit chaque jours de milliers de français. L’ambassade de France aux Émirats Arabes Unis recense près de 25000 de français en 2020 alors qu’ils étaient 17000 en 2013. Une tendance qui n’est pas prête de s’inverser. Le nombre de nouveaux touristes (première fois à Dubaï) est en hausse, démocratisant la destination, et surtout faisant tomber les derniers doutes où préjugés sur la ville. Le succès de l’EXPO2020 en est d’ailleurs l’un des facteurs.
L’expatriation à Dubaï est une opportunité pour les investisseurs locatifs de proposer des biens d’exception aux futurs expatriés. Mais également une occasion pour les expatriés d’investir dans leur résidence.
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